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PaleoViking

 

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Mon approche est de travailler avec un programme dédié pour chaque individu par l’utilisation d’un questionnaire de santé (Nutritional Assessment Questionnaire basé sur plus de 300 questions) et le suivi d’un journal nutritionnel. Je fais des plans personnalisés pour chaque client basés sur ses besoins et sa situation de vie – il n’existe pas une solution « one size » mais ma méthode est flexible, adaptable et dépend du défi que chacun a décidé de s’imposer.

Le Paléo ou le Paléo protocole auto immune est un excellent point de départ et je vous aiderai à trouver la meilleure façon de vous alimenter. Cependant, le Paléo ne se résume pas au simple domaine de la nutrition. C’est également une hygiène de vie à part entière (qu’il s’agisse de réduire le stress au quotidien, d’améliorer la qualité et la durée de notre sommeil ou d’ajouter une activité physique quotidienne). Chaque plan d’action s’étalera sur une durée minimum de 21 jours (minimum nécessaire pour observer un véritable changement)

Je pense sincèrement que notre corps a la capacité de guérir si nous lui donnons ce qu’il faut et ma première approche passera toujours par la nutrition associée à une amélioration de l’hygiène de vie.

 

L’alimentation

Quels sont alors les nutriments à éviter afin d’optimiser notre santé : le paléo exclue tous les aliments qui peuvent être « pro » inflammatoires et favorise les aliments denses en nutriments.
Les aliments pro inflammatoire sont le gluten (voir lectines toxiques), la caséine, les glucides raffinés (dont le sucre blanc), les graines et le soja :

Les lectines toxiques
Le gluten ou tout graine mais également les pseudo-grains (amarante, sarrasin, chia et quinoa) et certains légumes (alfa alfa, caroube, pois chiche, haricots cacahuète et soja entre autre). Il s’agit donc de supprimer toutes les graines et non pas de remplacer notre pain avec du pain sans gluten ou nos pâtes avec des pâtes sans gluten car les produits sans gluten qui commencent à envahir nos supermarchés ne sont pas du tout un bons substituts (car ils contiennent d’autres amidons et d’autres remplisseurs/stabilisateurs qui sont néfastes pour notre santé).

La caséine (protéine du lait)
Comme avec les lectines, la raison principale d’éviter le lait est liée à la difficulté pour notre organisme à le digérer. Pourquoi ? Et bien, le lait contient une enzyme appelée protéase qui contribue à l’hyperperméabilité intestinale (par rupture des jonctions entre les entérocytes). Le lait stimule également la production d’insuline car il contient des glucides. Le lait de vache contient également des hormones qui ont potentiellement un impact sur le corps humain (notamment IGF-1). Le lait augmente aussi la production de mucus ce qui peut aggraver les conditions requises au développement de l’asthme mais également créer un excès de mucus dans l’intestin ce qui peut générer des irritations de la muqueuse intestinale et gêner l’absorption de nutriments et des minéraux.  La caséine peut aussi avoir un effet de réaction croisée avec le gluten. Il faut toutefois faire la différence entre le lait conventionnel, des vaches nourries aux graines et le lait cru des vaches nourris à l’herbe.

Le sucre
Tous les glucides (pains, pates ou même les carottes et les betteraves) sont tous des longues chaines de sucre et ils vont tous finir de la même façon une fois qu’ils arrivent dans notre sang : du sucre. Presque tous les glucides sont décomposés en moitié glucose, moitié fructose. Le glucose est ensuite utilisé directement par nos cellules pour créer de l’énergie alors que le fructose doit passer par le foie pour être converti en glucose ou en graisse. Le problème c’est quand nous consommons plus de sucre que nous en avons besoin car une cascade d’hormones est alors stimulée afin de convertir ce sucre en glycogène (forme de stockage du sucre) ou en stock de graisse. D’abord le taux de sucre dans le sang augmente et ce sucre réagit avec d’autre composants de notre sang et crée ce qu’on appelle « AGE ou Advanced GLycation End Products », cela cause des dommages oxydatifs et augmente l’inflammation dans le corps. Un taux de sucre élevé va aussi stimuler les niveaux d’insuline afin de l’abaisser ainsi que l’hormone de la satiété (la leptine) qui stimule notre faim et nous donne plus d’appétit (cercle vicieux et système de récompensation). Le foie est responsable de la transformation de tout le sucre dont nous n’avons pas besoin dans l’immédiat, soit en glycogène soit en stock de graisse mais en faisant cela, des produits toxiques (comme les triglycérides) sont créées dans cette transformation. Si notre consommation de glucides est assez basse, notre corps parvient à gérer ces produits toxiques mais quand nous en consommons systématiquement en excès, notre corps n’arrive plus à gérer. Le but avec le Paléo n’est pas de supprimer tous les glucides mais plutôt de remplacer les glucides raffinés par les fruits, légumes et racines frais.

FAQs

Q Je m'appelle Maria et je suis coach en nutrition et mode de vie (bientôt nutritionnist holistique) et je propose des services de coaching en nutrition & mode de vie

Jeune sportive mal informée
Je m’appelle Maria, je suis suédoise et vit en région parisienne. Je suis coach en nutrition et mode de vie Paléo, maman de deux petites filles, accro à la course à pied mais surtout complètement gaga du bien-être, de la nourriture, de la santé et du comment optimiser notre santé et notre bonheur par des gestes simples au quotidien.

Jeune maman mal informée
Non, je n’ai pas toujours été ainsi, il y a juste quelques années je pensais mener une vie très saine, je venais d’avoir mon deuxième enfant et je vivais comme la plupart des jeunes mamans, une vie assez stressante, avec trop de glucides, de café et d’alcool, mais petit à petit j’ai commencé à avoir des problèmes de santé. J’ai commencé à perdre mes cheveux, j’ai perdu beaucoup de poids, mon ventre me faisait toujours mal, j’avais des ganglions enflammés sans causes réelles retrouvées, j’ai commencé à avoir de l’eczéma et à la fin j’ai même développé une dermite séborrhéique et une rosacée. J’ai vu plusieurs dermatologues mais aucun ne m’a dit que ces problèmes pouvaient être de nature auto-immune. Ils m’ont donné des comprimés (la pilule diane 35 et androcur) et des corticoïdes pour ma peau.

Des solutions naturelles
Au début de l’année 2014 je me sentais fatiguée, j’avais peur et je me sentais impuissante face à mes problèmes de santé et c’est là que j’ai décidé de prendre les choses en main moi-même. Ma recherche m’a amené vers l’univers Paléo et j’ai compris que mes problèmes était largement dû à une intolérance au gluten, le reste est comme on le dit « history ».

Problèmes hormonaux
Même si mes symptômes se sont améliorés juste en excluant le gluten, les graines, le lactose et le sucre, le chemin a été très long car je me suis rendu compte que j’avais des problèmes hormonaux depuis plusieurs années. J’ai toujours couru, depuis toute petite, j’ai fait ma première compétition à 5 ans et à 12 ans je courais déjà au moins quatre fois par semaine ! Personne ne m’a jamais dit que cet entrainement pouvait me donner des troubles hormonaux et ainsi j’ai passé la plupart de ma vie adulte sans avoir mes règles. C’est à trente ans quand j’ai voulu avoir des enfants que je me suis enfin posé la question. J’ai consulté plusieurs endocrinologues et ils m’ont tous prescrit des traitements hormonaux (clomid, gonal F…you name it), aucun de ses médecins ne m’a posé des questions sur mon mode de vie et ma façon de manger. Aucun ne m’a dit que la combinaison d’un entrainement physique intense et d’un régime pauvre en graisse et trop riche en pâtes, riz et sucres rapides, trop de café et surement trop d’alcool (en bonne suédoise) était fatal pour mes capacités reproductives.
Pourquoi ? Eh bien, les hormones sexuelles ne sont rien d’autre que du cholestérol et des protéines, les deux aliments que j’ai évités le plus ! Donc après avoir passé toute ma vie adulte avec un taux d’œstrogène insuffisant pour maintenir mes règles, je me suis shootée à l’oestrogène comme une toxicomane demande ses injections d’héroïne dans le but de tomber enceinte. Evidemment cela n’a pas été très bon pour mon corps mais ça m’a permis d’avoir mes deux amours et les problèmes qui ont suivi m’ont permis de prendre ma santé en main, de manger et faire du sport de façon intelligente afin d’optimiser ma santé au maximum.

Donne à ton corps ce qu’il faut pour vibrer : PALEO
Ce n’est donc qu’à 37 ans que mes hormones sont enfin équilibrées. En gardant mes hormones en équilibre ma peau est belle, je ne perds plus mes cheveux et je suis pleine d’énergie ! Paleo n’est pas un régime, c’est une façon de donner à votre corps ce qu’il est censé avoir: une nourriture saine, anti inflammatoire, beaucoup de sommeil, le moins de toxines possibles et du sport en modération et du plaisir et du bonheur!!!!

Q Qu’est-ce que le Paléo ?

La nourriture et l’environnement dans lequel nous vivons privent nos corps des nutriments essentiels et favorisent un mode de vie stressant. La nourriture moderne est pleine de gouts et de couleurs artificiels, de sucres souvent sous la forme de sirop de maïs, génétiquement modifié, xenoestrogens, xenobiotiques, conservateurs, graisses hydrogénées, sel de table et autres « anti nutriments » qui rendent la digestion et l’absorption de la nourriture difficile. Encore pire, gluten et caséine peuvent créer une inflammation chronique, qui est la racine de plusieurs maladies modernes.

Pendant des millions d’années l’être humain a vécu en tant que chasseur-cueilleur. Nos gènes se sont ainsi développés et adaptés à la nourriture à laquelle nous avons eu accès et leur fonctionnement est donc optimal quand notre alimentation est basée sur ces aliments. Le régime Paléo est une alimentation moderne qui imite ces catégories d’aliments que chaque personne consommait il y a plus de 1000 générations humaines. Ces sont les fruits et les légumes frais, les racines, les fruits oléagineux, les viandes maigres, le poisson et les fruits de mer. La période paléolithique s’est terminée il y a environ 2,5 millions d’années avant l’apparition de la révolution agricole et industrielle. Avant la révolution agricole, chaque être humain de la planète était un chasseur-cueilleur et mangeait seulement des aliments sauvages non transformés qu’il pouvait trouver dans son environnement naturel. Les aliments qu’on évite dans le régime paléo sont donc les aliments récents et transformés comme les graines, les produits laitiers, les sucres raffinés et les huiles végétales raffinées. En mangeant ainsi on augmente la densité nutritionnelle, on réduit l’inflammation, on améliore la digestion, on règle le taux de sucre, on améliore notre flore intestinale et on réduit les facteurs de stress dans notre mode de vie afin de renforcer notre système immunitaire et notre santé globale.

Mais Paléo n’est pas seulement une façon de manger mais également une façon de vivre. Pour optimiser notre santé au maximum on vises les six piliers suivants: